La psychogénéalogie. L’histoire familiale et ancestrale
Un chemin d’éveil et d’Amour.
Lorsque nous venons au monde, c’est à travers une matrice, le ventre de notre mère, c’est dans ce nid douillet et chaud, que nous grandissons, et c’est par elle, notre mère et génitrice, que nous arrivons sur terre.
C’est grâce à ce lien et à travers lui que notre âme choisit de venir s’incarner dans la matière.
Cette transmission de la vie se fait par l’union d’un pôle féminin et d’un pôle masculin, énergie Yin et énergie Yang.
Le mot “attirance” de deux personnes n’est pas employé ici, car lors d’une relation non consentante il y a aussi possibilité de création d’un petit être, si une âme a besoin et choisit de s’incarner sur la terre dans un but précis, il n’y a pas de hasard !
Une “volonté” de venir dans la matière, une force de vie, est active dans chaque naissance !
Même si l’âme, pour des raisons qui lui sont propres, ne reste pas ici bas !
Notre mère et notre père, nos géniteurs, sont eux aussi issus d’une lignée familiale particulière.
On peut dire que sans cette possibilité, sans cette “permission” de l’univers de la nidation de l’œuf dans une matrice maternelle, la vie ne se fait pas !
Chaque enfant qui arrive dans une famille reçoit de par la génétique, l’éducation, le contexte environnemental, social et familial dans lequel il arrive comme sa place au sein de la fratrie, ainsi que sa place au sein de la famille, des énergies qui lui sont spécifiques et très personnelles.
Chaque être qui nait est donc une personne unique, portant des caractéristiques uniques, ayant et portant sa propre empreinte de naissance.
Fille ou garçon, né(e) sous l’influence de la position des planètes lors de son premier cri, lui donne une signature personnelle, astrologique et vibratoire très significatives.
Il y a aussi les lettres composant le nom et le prénom de l’enfant, le prénom répété quotidiennement par multiples personnes de la famille, générant un “son vibrant” lors de sa prononciation.
Toutes ces particularités ne sont pas données au hasard, et engendrent des caractéristiques personnelles précises sur le plan de sa “géométrie sacrée et de la personnalité de l’être, ainsi que sa place au sein de l’arbre généalogique.
L’être qui nait vibre dans une globalité, physique, mais aussi psychique, énergétique et multidimensionnelle.
On sait depuis les années 50 que chaque individu exprime dans sa vie les malaises, les blessures et les drames de son système familial, héritage transgénérationnel.
C’est ce que l’on appelle “le transgénérationnel”, qui nous façonne et nous influence dès la vie intra-utérine, et peut être avant, dès que les parents forment leur souhait, projettent leurs pensées de concevoir un enfant dans un contexte.
Donner du sens à ce qui arrive dans notre vie…….
Rencontrant beaucoup de personnes aux prises avec des gros blocages familiaux vivant des situations énigmatiques, des psychologues et psychothérapeutes ont créés des outils pédagogiques permettant de clarifier des situations complexes dans ce domaine.
Ces outils servent à mettre en lumière des tâches inachevées dans la vie des ancêtres du patient, mais non conscientes et non connues par lui à ce jour.
Ces “non dits” donnent lieu à des situations difficiles et inexpliquées, qui bloquent l’épanouissement du patient, car logés dans son inconscient familial transgénérationnel.
Les outils donnent accès à des informations comme des deuils non faits, des pertes diverses dans la famille, des actes cachées, des secrets de famille, qui laissent des traces émotionnelles non nettoyées et ancrées dans l’inconscient transgénérationnel.
Parmi ces outils, on trouve “le psychodrame”, qui est une représentation théâtrale de la scène familiale dans un cadre thérapeutique.
« Mets-toi à ma place ! Et regarde-toi ! ».
Cela se fait sous la direction d’un thérapeute.
“Le jeu de rôle”, en thérapies comportementales et cognitives, cela consiste en l’élaboration de courtes mises en scène théâtrales dans lesquelles les personnes jouent activement, reprenant un contexte précis.
Chaque personne choisira quel “rôle” elle veut avoir sur la scène familiale et le contexte joué.
Chacun pouvant choisir le rôle du père, de la mère, de la tante ou autre personne présente dans la scène à travailler.
Le but est de permettre de laisser s’exprimer dans une situation donnée au départ, une synergie d’échanges, par rapport aux réactions spontanées de chaque acteur dans une situation précise.
Montrer aussi qu’il existe d’autres solutions, ouvrir sur de nouvelles solutions, afin de voir et expérimenter d’autres comportements, plus adaptés que les comportements mis en place par le patient dans la vie quotidienne.
Par le jeu de rôle, le patient s’entraîne aussi à utiliser concrètement de nouveaux comportements auxquels il n’avait pas pensé.
“La communication non verbale”, est un outil permettant de mieux comprendre la situation grâce au langage du corps. Les gestes, le regard, un soupir, peuvent signifier un état émotionnel du moment lié à la seule pensée d’une situation donnée. Cela permet de voir une autre facette de décodage !
Attention toutefois, à ne pas se laisser entraîner par le mental, qui peut mener à des conclusions excessives et faussées, si l’on en fait la seule bible de repérage en terme de langage corporel.
Cela peut vite basculer dans des jugements sur les autres, ce qui n’est pas du tout le but de cet outil.
Faire un point thérapeutique sur plusieurs données recueillies est essentiel.
Cela permet aussi de ne pas nourrir la psychose ou l’obsession.
Des histoires qui se répètent, des drames qui se rejouent à une même date de génération en génération, peuvent générer le désir de comprendre, et la forte intention de libérer ces blocages familiaux, comme connaître un secret de famille, cela peut être conscientisé et libéré par une analyse transgénérationnelle.
Le “son” et le poids des mots !
Entendre les récits de ce qui s’est réellement passé dans l‘histoire familiale est extrêmement salvateur pour celui qui cherche la raison de sa souffrance intérieure, car la conscience, et des mots posés sur un ressenti souvent fort, libère très souvent le patient d’un poids familial lourd !
Poids dont il prend conscience, et qu’il ne veut plus continuer à porter !
Anne Ancelin, psychothérapeute, a dit : “Ce qui ne s’exprime pas en mots s’imprime et s’exprime alors en maux”.
La psychogénéalogie est importante pour mettre des mots sur notre propre histoire, pour en guérir “les maux”, surtout lorsque celle-ci devient souffrante par des maladies répétitives !
Aussi, donner du sens, et trouver enfin une explication à un vécu qui se répète et qui caractérise ce que l’on appelle les “schémas répétitifs ou les “dates anniversaire”, est important pour libérer ses propres fardeaux, mais aussi ceux de nos enfants et descendants !
Ces “dates anniversaire” sont des liens à regarder dans l’histoire de la généalogie.
Si l’on constate les mêmes histoires qui se répètent d’une génération à l’autre, non pas au même âge ou au même jour, mais par exemple lorsqu’un enfant occupe la même place dans sa fratrie que celle d’une sœur ou d’un frère d’un de ses ascendants, on peut retrouver des problèmes similaires.
Cela revient comme une “boucle” qui génère des souffrances et incompréhensions.
Si une première intervention et selon la méthode utilisée par le professionnel contacté, le résultat n’est pas forcément une libération, un peu comme une impression que ce “vécu” ne nous appartenait pas !
Mais alors, à qui appartient-il et que travailler ?
La réponse est probablement dans l’histoire familiale, en tout, cas, c’est une piste à explorer, puisque la première ne résout rien, il y a tout à y gagner, car rester sans rien faire est vraiment très inconfortable, et donner du sens à sa vie est un “appel fort de notre âme”.
Aussi, “donner du sens” à notre vécu, est une issue à envisager pour enfin, en désamorcer la boucle qui fatigue, pour arrêter de tourner en rond, et reprendre enfin notre chemin propre, ressentant la Vie revenir sous nos pas !..
Que portons nous à travers notre histoire familiale ?
“Répéter les mêmes faits, les dates ou les âges qui ont construit le roman familial
de notre lignée est une manière pour nous d’être fidèles à nos ancêtres (…),
Une façon de poursuivre la tradition familiale et de vivre en conformité avec elle”
Anne Ancelin Schützenberger
Sa place dans la fratrie, et toutes les particularités liées à notre naissance, font que nous ne vivons pas les mêmes expériences que notre frère ou notre sœur, vivant pourtant au sein d’une même famille.
Pourtant, certains vécus sont récurrents dans la vie de certaines personnes, alors que leur frère ou leur sœur ne vit pas la même expérience !
Certains n’arrivent pas, malgré tout ce qu’ils mettent en place pour y arriver, à gagner de l’argent dans une situation professionnelle harmonieuse.
D’autres n’ont que des histoires d’amour qui tournent au drame, ou à l’abandon.
Alors que pour d’autres, et indépendamment de leur frère et sœur, tout “marche” comme sur des roulettes, et la vie s’ouvre devant eux sans gros blocage !
Ces schémas répétitifs semblent être une empreinte qui touche uniquement un des enfants de la fratrie en particulier, et pas les autres, comme une trace, une mémoire spécifique qui ressortirait curieusement juste sur une personne.
Pourquoi ?
Si l’on considère que rien n’arrive par hasard, cela ressemblerait-il à une “mission” que cette âme serait venue accomplir dans l’histoire familiale ?
Mission qui, grâce à la signature particulière de l’âme, serait de libérer en les sortant de l’ombre, des choses cachées, de la lignée.
Mettre sur le devant de la scène familiale, un secret de famille, un non dit, et tout ce qui peut être resté cristallisé dans les mémoires de la généalogie est libérateur pour l’être, et pour ses lignées transgénérationnelles.
Les vécus répétés, non conscientisés, ou occultés sur une lignée familiale, engendreront petit à petit des cristallisations.
Sur le plan physique, générant souvent des maladies répétitives familiales ou des problèmes émotionnels ou autres, ces cristallisations seront là, laissées comme des empreintes plus ou moins profondes qui ressortiront sur la mémoire de l’histoire familiale et sur les descendants, tant que rien ne sera entrepris.
La 5ème génération missionnée pour “guérir “.
Missionné pour libérer les schémas répétitifs d’une lignée, un être ayant la volonté et le désir profond de mettre en place concrètement sa propre libération, aura un impact considérable et positif sur les mémoires de ses descendants.
Ces derniers auront des particularités personnelles karmiques à libérer aussi, mais cela allègera le travail.
Pour libérer des schémas répétitifs, il peut être intéressant d’aller voir en psycho généalogie l’histoire de nos grands-parents, juste pour comprendre, et donner du “sens” à notre histoire.
Qu’est ce qui s’est passé dans la famille lorsque l’on m’attendait ?
Car tant que les faits ne sont pas conscientisés en nous, il y a des schémas qui se répètent dans la vie.
Et si ces répétitions de vie ne nous conviennent pas, parce qu’elles sont souffrantes et bloquantes, nous pouvons agir, maintenant et sans plus attendre.
Car si cela n’est pas nettoyé, cela s’installera ensuite dans la biologie du corps, et peut provoquer la maladie.
La maladie n’est toutefois pas uniquement provoquée par les causes psychogénéalogiques.
Et si …
Et si nous ne pouvons pas connaître l’histoire de nos 2 lignées, parce que tous nos ascendants sont absents de notre vie ou décédés, comment fait on, reste- t-on “coincés” dans notre arbre par nos souffrances ?
Nous sommes à une époque d’ouverture vibratoire très spéciale depuis 2012.
Cette ouverture se fait par le biais de vortex d’énergie sur la planète, qui génère des changements concrets du climat, on peut le vérifier en regardant les variations incroyablement élevées de l’amplitude de Schumann.
Aussi, des opportunités s’ouvrent à nous, ce qui n’était pas possible il y a seulement quelques années.
Donc pas d’inquiétude, il existe des solutions de libérations transgénérationnelles …
Ouf !
Car de par la loi de cause à effet encore là, comment comprendre ce qui se joue et se rejoue dans notre famille, comment reprendre en mains les rennes de sa vie, les commandes de sa destinée, sinon en comprenant d’où nous venons, quels sont les bagages que nous portons et dont nous héritons, et comment s’en décharger, comment les déposer à terre ?
Pourquoi naître au sein de 2 lignées familiales spécifiques ?
L’homme est multidimensionnel.
La personnalité de chaque individu qui arrive sur terre est le résultat de ce que la mémoire de l’âme a véhiculé au fil de ces vies passés / parallèles.
Il porte en s’incarnant, la mémoire de son âme, une partie de lui est dans l’astral, et une partie est dans le monde de la lumière.
Il fonctionne donc en relation avec du mémoriel accumulé au cours de sa propre expérimentation sur le plan matériel. Ce qui est relié à ses choix personnels vécus.
Il ramène aussi les empreintes de l’histoire des ancêtres de la famille qui l’accueille sur le plan terrestre.
Notre naissance au cœur d’une famille est une histoire d’amour.
La famille d’incarnation, comme une famille d’accueil, permet à notre âme de pouvoir s’incarner sur la terre, en ayant les conditions nécessaires pour régler ce qui doit l’être.
Même si nous y vivons des choses difficiles, notre âme a choisi les conditions parfaites d’incarnation, afin de vivre des expériences concrètes, et remettre de la lumière et de la conscience grâce à l’expérimentation dans la matière.
L’amour est tolérance, et nous sommes tous inter-reliés !
Et si nous avions accepté de porter, afin de les conscientiser en ne les occultant plus, ces secrets de famille, ces non dits, afin de les libérer ?
Nous choisissons, de par cette force d’Amour développée par notre âme, de les faire sortir sur le devant de la scène de notre vie, car nous avons dans nos caractéristiques vibratoires, la capacité à faire ce travail, ce nettoyage transgénérationnel et psycho généalogique.
Il ne nous est jamais rien demandé que nous ne puissions faire, ou libérer ici bas !
Relation entre la psycho généalogie et la Biologie
L’Amour présent dans ce choix est important, car il va induire l’universalité des choses, il n’y a pas de fatalité !
En effet, si une âme est missionnée parce qu’elle en a les possibilités, pour venir libérer des mémoires psycho généalogiques d’une famille, l’inter relation des membres de la famille est tel, que chaque libération induira une délivrance, un soulagement avec les membres de la fratrie.
C’est un peu comme si le puzzle familial comprenait des pièces manquantes ou des pièces n’étant pas à leur place. Les ressentis ne sont alors pas harmonieux, d’où ces vécus souffrants.
Comment se distribuent les mémoires de l’arbre ?
Au moment où naît un enfant, il y a une transmission des conflits non réglés de son histoire familiale.
Ils vont s’inscrire dans sa mémoire cellulaire et programmer en conséquence certains scénarios de vie.
La place d’un être dans la fratrie est liée avec des membres de la fratrie dans sa généalogie. Là non plus pas de hasard !
Le carré de la règle des 3.
1 | 2 | 3 |
4 | 5 | 6 |
7 | 8 | 9 |
Le 1er enfant d’une famille étant lié au 4ème, étant aussi lié au 7ème, dans l’histoire de la fratrie.
Il se lit verticalement. Les enfants de la 1ère colonne issus des 2 lignées, auraient des mémoires familiales en commun.
Pour déterminer les rangs de la fratrie, il est important de prendre en compte les fausses couches et les avortements, ce qui n’est pas toujours connue ni nommé dans l’histoire familiale.
S’il y a eu un jumeau qui n’a pas vécu, l’enfant qui est né même après, a la place n° 1.
Si on a perdu un jumeau, on retrouve souvent nos initiales dans les initiales d’un partenaire rencontré. Ce sont souvent de belles rencontres.
Cette règle des trois peut être vérifiés dans le cadre d’une thérapie transgénérationnelle, faisant appel à la “Technique de Constellation familiale“, pour dénouer l’histoire de la famille.
L’arrivée d’un être, qui, de par ces particularités, accepte par “mission d’âme”, l’élan de chercher les pièces manquantes, afin de les trouver, les remettre à leur place respective, et ainsi permettre au puzzle familial de reprendre au fur et à mesure, toute son harmonie.
Les prénoms, les anagrammes sont d’autres modes de transmission. La période allant de la conception à la naissance est déterminante pour la vie de l’enfant, car tout ce que la maman porteuse de l’embryon ressentira durant la gestation, se sera également par l’enfant, conditionnant son attitude inconsciente étant devenu adulte.
C’est ainsi qu’un enfant, dont la maman vit du stress à devoir s’immobiliser lors de sa grossesse, peut avoir à l’âge adulte des mémoires le conduisant à vivre des situations de blocages dans l’activité dans un domaine de sa vie.
Mémoires familiales négatives concernant argent et réussite.
Lorsque l’on rencontre des lignées d’aïeux qui ont gagné de l’argent par la prostitution, le marché noir, ou l’escroquerie, et que ces pratiques sont condamnées par des membres de l’arbre généalogique, l’argent devient “sale”, chargé de culpabilité et de honte, ces sentiments et émotions pourront être logés dans les mémoires cellulaires des descendants.
Celui qui hérite de ces mémoires peut créer des situations où il ne gagne que peu d’argent, inconsciemment, il ne veut pas se “salir les mains !”, inconsciemment rappelé à l’ordre par les mémoires de honte, qui engendrent la blessure d’humiliation.
Mémoires de conflits “liquide”.
Mémoires liées à l’argent.
L’argent est enregistré par le cerveau sur la notion symbolique du liquide > “Payer en liquide”.
C’est alors que les mémoires culpabilisantes du “liquide” vont perturber la vie matérielle d’un descendant et parfois sa santé.
Mémoires d’alcool.
Dans la majorité des familles, ce sont les hommes qui boivent, alors que les conjoints et(ou) enfants vont subir des préjudices, la cause étant l’excès d’alcool absorbé par le tuteur ou conjoint.
Le message “non verbal” ici pourra être alors : “Pour vivre en paix, il ne faut surtout pas rentrer de liquide !”
L’argent sera vu comme dangereux et la personne, inconsciemment, et en accord avec cette mémoire, fera tout pour ne pas en avoir.
Par exemple : Si une femme de vos aïeules a empêché, par tous les moyens qu’elle trouvait, l’accessibilité de l’alcool à son mari, en cachant l’argent qui permettait à celui-ci de s’alcooliser, dans les générations suivantes, un être répondra inconsciemment à la mémoire de cette aïeule en se faisant déposséder à un moment de sa vie.
Un schéma, dans la souffrance de ces femmes ayant soufferts de l’alcoolisme des hommes, peut se léguer dans les femmes de la descendance. Celles-ci pourront inconsciemment se couper de leur “féminité” et (ou) devenir des femmes “castratrices”, en tant que mères ou épouses.
Dans leur inconscient, l’homme est perçu comme négatif, et elles feront tout pour que leur enfant garçon, reste “petit” et ne devienne pas un homme, ce qui pourra engendrer des problèmes d’ordre sexuel plus tard chez ce dernier.
Mémoires de noyade.
Si un aïeul est mort noyé, le message cellulaire peut être : “Pour rester en vie il faut empêcher le liquide de rentrer en moi !” – Le descendant va repousser inconsciemment l’argent liquide notamment, dans sa vie !
Si un aïeul qui a été sauvé de la noyade, est resté en vie grâce à l’expulsion du liquide de ses poumons, les personnes pourront dépenser plus qu’elles ne gagnent, restant dans l’inconscient le moyen de rester en vie.
Le message de conservation étant :“Expulser le liquide = sortir l’argent= rester vivant.
Ce message ne représente qu’une croyance léguée dans la mémoire familiale, ces croyances très limitantes empêchent tout épanouissement dans la vie de la personne.
Mémoires d’échec.
Le poids des mots, surtout d’un parent éducateur à un enfant, est primordial dans la notion de réussite ou d’échec. Aussi certaines injonctions parentales resteront gravées dans le cerveau et la mémoire cellulaire de l’enfant.
Cela empêchera sa réussite devenu adulte, à moins qu’il en devienne conscient, et qu’il déprogramme cette mémoire psychogénéalogique.
Mémoire qu’il subit par solidarité inconsciente envers ses ancêtres, mais qu’il a parfaitement le droit de sortir de son système de croyance.
Comment savoir quoi, comment et quand nettoyer ?
Toute “croyance” peut être conscientisée et libérée, cela allègera largement l’être qui fera ce travail de conscientisation personnelle.
Lorsqu’un enfant qui nait est prêt à libérer dans son énergie propre, les mémoires de ses lignées devenues obsolètes, tout dans sa vie s’organise et se met en place pour que cela se fasse, de là la notion parfois entendue de “Le hasard n’existe pas !”
Lâcher la culpabilité.
Aller à la rencontre de la mémoire qui “bloque“, c’est accepter de se poser, et d’aller ressentir l’émotion qui se présente à nous dans notre corps, lorsque nous parlons d’un blocage particulier de la vie présente.
Cela se projette en termes de croyances limitantes, croyances transmises par un ou plusieurs ancêtres !
Lever ces croyances permet de nettoyer les mémoires bloquantes.
Les mémoires karmiques de vies passées, l’éducation dans la petite enfance, et les mémoires de nos ancêtres logées dans notre ADN, tout cela peut bloquer l’élan vers le nettoyage !
Comment voir cela ?
En conscientisant ce que nous “portons”, et qui ne nous appartient pas !
Pour cela, il est nécessaire de faire un travail d’introspection et de se connecter à notre “Soi véritable”, qui représente nos aspirations lumineuses les plus profondes.
Ces aspirations, on les reconnaît clairement car elles, aussi simples soient elles, elles nous donnent de la joie profonde dans le cœur dès que nous y pensons. Nous avons une facilité à les mettre en pratique, et les autres nous en renvoient du positif.
Qu’est ce qui peut empêcher les nettoyages de la généalogie ?
Que peuvent être ces croyances bloquantes ?
* Croire que nettoyer les mémoires et croyances reçues de vos ancêtres, va couper le lien d”amour entre ceux que vous aimez et estimez,
* Recevoir inconsciemment la croyance imposée par un ancêtre qui est décédé, mais n’est pas encore monté vers son plan de lumière, s’accrochant à ses croyances et à la transmission de celles-ci ! (un nettoyage psychogénéalogique via un Passeur d’âmes est aidant pour débloquer cette situation)
* Avoir activé en nous la blessure de “trahison” !
Cette “blessure” nous amène à l’attitude récurrente du “contrôlant” ; et les plus grandes peurs du “contrôlant” sont > la dissociation, la séparation, le reniement.
Aussi la guérison de cette blessure peut libérer des peurs qui bloquent le nettoyage de notre psycho généalogie.
Lise Bourbeau explique la base de ces processus dans son livre “Les 5 blessures qui empêchent d’être soi même” où elle décrit les bases comportementales de chaque blessure, et comment les guérir.
Barbara Ann Brennan, auteure du livre “Le pouvoir bénéfique des mains”, explique dans son ouvrage “Guérir par la Lumière”, les différents aspects pour conscientiser nos mécanismes de défenses mis en place dans l’enfance, et parfois au-delà, étant liés parfois à une mémoire karmique passée.
Enfin nous retrouverons encore dans le livre “La Prophétie des Andes”, de James Redfield, ces mécanismes de dominations et comment les défaire !
La “mécanique quantique” et les nettoyages karmiques.
Lorsque nous venons au monde, notre premier réflexe en tant qu’enfant est de rechercher l’amour de notre père et notre mère, ou de nos éducateurs.
Dans le cerveau, Survie = lien = Amour.
Pour cela, dès notre naissance et avant même de savoir parler, notre réflexe de “survie” est d’observer nos parents, et voir les réactions qu’ils ont vis-à-vis de nous.
Notre seul but étant de recevoir de l’amour afin de créer le lien familial et ne pas en être rejeté.
La phrase d’André Gide “Famille, je vous hais” parle toute seule, et montre l’ambivalence de l’amour et de la haine.
Cela ne laisse personne indifférent, ces deux opposés tout comme le yin et le yang, s’attirent afin que la conscience de l’être puisse tirer un parallèle, et aller libérer grâce à l’Amour, la haine restée en suspens dans les généalogies.
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